Dimanche, j’ai eu la chance d’assister au départ de la Transat Jacques Vabre depuis l’Etoile du Roy, un « fameux trois mâts », copie d’une frégate corsaire de 1745. Le tout sous un soleil radieux -même si nous aurions tous préféré avoir du vent plutôt que du soleil ! Quelques photos pour partager avec vous l’ambiance quasi estivale de ce début de course…
9h30. Une heure après les derniers bateaux de la course, nous quittons le bassin Vatine à bord de L’Etoile du Roy, copie d’une frégate corsaire du XVIIIe, mise à l’eau en 1996.
Drôle de rencontre à l’embouchure de la Seine. Le port du Havre est le deuxième port de France, derrière Marseille, et le 54e port mondial.Le trimaran Macif, skippé par Gabart et Bidégorry, vu depuis la frégate corsaire. Les skippers et leurs bateaux ont quitté le bassin Vatine entre 7h et 8h30. Que font-ils pendant cette longue attente? Réglages de dernière minute, derniers briefs avec les équipes techniques. Certains, suffisamment décontractés, trouvent même le temps de tweeter !Une fois arrivés dans la zone réservée aux bateaux spectateurs, l’attente est longue… On déjeune, et sur le pont de L’Etoile du Roy, la frénésie retombe un peu… Doucement balancés par la mer, moteur en sourdine, les matelots d’un jour s’étalent sur le pont, au soleil… Jusqu’à ce que l’arrivée des hélicos lance le branle le bas de combat: c’est signe que la course va bientôt partir !« 5, 4, 3, 2, 1… top » Il est 13h30, ils sont partis ! (tranquillement…)42 bateaux sur l’eau, de 12 à plus de 30 mètres. C’est beau (et flou).Le début de la course est vraiment très lent, faute de vent. Mais il suffit d’une petite petite risée, et hop, la flotte commence à s’étaler sur le plan d’eau.Safran et Bastide-Otio. Safran est un bateau tout neuf, de nouvelle génération, équipé des fameux foils. Bastide-Otio est l’un de mes chouchous, skippé par le duo Kito de Pavant – Yann Regniau.Sodebo, skippé par Thomas Coville et Jean-Luc Nélias. Favori dans la catégorie des Ultims.A bord de l’Etoile du Roy. On ne se lasse pas du spectacle. Et pas un seul malade !Notre frégate n’a pas hissé ses voiles, hélas, car il y avait trop peu de vent. Seules deux voiles d’étai ont été installées pour limiter la gite du bateau.Premier virement de bord. Direction la bouée d’Etretat. Pendant, ce temps, nous entamons le retour au port.Une copine, sur le trajet du retour.Bouchon du dimanche soir à l’entrée de l’écluse du port du Havre.The end (jusqu’à la prochaine fois)
[…] Reste maintenant un an à Eric Bellion pour peaufiner sa monture en vue de « l’Everest de la course au large ». Pour ça, il va pouvoir compter sur l’aide au combien précieuse du navigateur Michel Desjoyeaux. « Le professeur » a en effet accepté d’accompagner Bellion et son bateau dans leur préparation. Preuve que derrière les cheveux en bataille, Eric cache un vrai potentiel. Je vous l’avez bien dit ! […]
[…] Reste maintenant un an à Eric Bellion pour peaufiner sa monture en vue de « l’Everest de la course au large ». Pour ça, il va pouvoir compter sur l’aide au combien précieuse du navigateur Michel Desjoyeaux. « Le professeur » a en effet accepté d’accompagner Bellion et son bateau dans leur préparation. Preuve que derrière les cheveux en bataille, Eric cache un vrai potentiel. Je vous l’avez bien dit ! […]
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